INCA-SHS 2024

Du 26/11/2024 au 26/11/2024

Lyon - France


Conférenciers

Anita Kienesberger
CCI Europe
Anita Kienesberger est la présidente du comité européen de Childhood Cancer Europe. En tant qu'infirmière en oncologie pédiatrique et infirmière en chef de l'unité de soins intensifs en oncologie à l'hôpital pour enfants St. Anna à Vienne, en Autriche, elle est devenue une fervente défenseuse des droits et du bien-être des enfants atteints de cancer. Anita a été membre du conseil d'administration de Childhood Cancer International (2003-2014) et PDG de l'organisation autrichienne de lutte contre le cancer de l'enfant (2001-2021). Elle est actuellement présidente de l'organisation autrichienne de patients en oncologie Die Allianz et du réseau européen d'organisations de patients atteints de cancer (WECAN). Dans toutes les fonctions qu'elle occupe, son objectif est d'utiliser son expérience pour défendre des initiatives et des solutions qui amélioreront la vie des enfants atteints de cancer, pendant et après le traitement.


Anne Kerr
Université de GlasgowT
Anne est Professeur de Science & Technology Studies et directrice de l'Ecole des Sciences Sociales et Politiques de l'Université de Glasgow. Elle a une formation de Science & Technology Studies et en sociologie médicale. Elle étudie le rapport des professionnels, des patients et du public aux technologies de santé innovantes, notamment la conception assistée, la génétique de la reproduction, la médecine régénérative et la médecine génomique pour le cancer. Elle a beaucoup travaillé avec des chercheurs issus des sciences sociales et biomédicales, en s’intéressant à la façon dont les patients, les chercheurs et les cliniciens élaborent les opportunités et les risques de la biomédecine. Anne est membre du Nuffield Council in Bioethics et préside son conseil consultatif sur le projet d'aide à mourir, qui supervise un jury de citoyens chargé d'explorer les points de vue des habitants de l'Angleterre sur cette question.


Anne Mc Leer
Bio-pathology department of the Léon Bérard cancer center
Anne Mc Leer a obtenu un doctorat en sciences biologiques et physiologiques en 2004 à l'Université de Lyon. Elle est biologiste médicale dans le domaine de la biologie moléculaire et de la génétique du cancer. Elle a été professeur associé à la faculté de médecine de Grenoble (France) et responsable de l'unité de pathologie moléculaire dans le service de pathologie du CHU de Grenoble de 2011 à 2023. Depuis 2024, elle a rejoint l'équipe de biologie des tumeurs du centre de lutte contre le cancer Léon Bérard à Lyon (https://www.centreleonberard.fr/ ). Elle se consacre à la mise en place de tests moléculaires innovants pour les patients atteints de cancer, et participe activement au laboratoire de biologie médicale AURAGEN, qui s'inscrit dans le Plan national 2025 Médecine Génomique France (https://pfmg2025.aviesan.fr/ ). Anne mène ses activités de recherche sur la caractérisation moléculaire du cancer du poumon


Arnaud Bayle MD PhD
Oncostat U1018, Inserm, Université Paris-Saclay
Direction de la Recherche Clinique
Gustave Roussy

Le Dr Arnaud Bayle est oncologue médical au Département d’Innovations Thérapeutiques et Essais de Phase Précoce à l’Institut Gustave Roussy Gustave Roussy (Villejuif, France). Il est également enseignant à l'Université Paris Saclay. Le Dr Bayle a suivi une formation d'oncologue médical (MD) à l'université Paris Descartes et a obtenu la médaille d'argent de la faculté de médecine de Paris en 2020. Parallèlement, le Dr Bayle a obtenu en 2015 un Master of Science (MSc) en Management à l'ESSEC Business School et a terminé premier de sa promotion de la Chaire ESSEC des Systèmes de Santé (promotion 2013). Le Dr Bayle s'intéresse particulièrement à la santé publique et poursuit actuellement un doctorat en économie de la santé à l'Université Paris Saclay dans le domaine des biomarqueurs et de la médecine de précision. En plus de son expérience clinique à l'Assistance Publique des Hôpitaux de Paris (AP-HP) et à Gustave Roussy, le Dr Bayle a travaillé pour l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) au bureau de l'Union européenne à Bruxelles. Il a également travaillé pour le Ministère de la santé et la direction de la Sécurité Sociale. Sa dernière expérience l'a amené à travailler à l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS), qui est le bureau d'audit, d'évaluation et d'inspection du gouvernement français pour la santé, la sécurité sociale, la cohésion sociale et les politiques d’emploi et du travail. Le Dr Bayle est membre de la Société européenne d'oncologie médicale (ESMO) et membre du Global Policy Committee.


Mathis Bernard
Université Lyon 2
Laboratoire Triangle (UMR 5206)
Département Sciences Humaines et Sociales du Centre Léon Bérard
Mathis Bernard est doctorant en sociologie à l'Université Lyon 2, sous la direction de Sylvain Besle et François Buton. Ses recherches portent sur les les liens entre transformations de la preuve biomédicale et innovations thérapeutiques en cancérologie. Il enquête principalement sur la remise en cause des essais randomisés, le développement d'une recherche biomédicale fondée sur les mécanismes moléculaires et l'émergence des données de vie réelle.


Carine Vassy
IRIS, Université Sorbonne Paris Nord Carine Vassy est sociologue, maîtresse de conférences à l’université Sorbonne Paris Nord et directrice adjointe de l’Institut de Recherche Interdisciplinaire sur les enjeux Sociaux (IRIS -http://iris.ehess.fr/). Ses travaux portent sur l’organisation hospitalière, les professions de santé, les politiques publiques sanitaires et les innovations biomédicales. Elle travaille actuellement sur les enjeux sociaux du dépistage génétique des anomalies fœtales.


Catherine Bourgain
INSERM
Cermes3
Catherine Bourgain est directrice de recherche à l’Inserm et directrice du Centre de Recherche Médecine, Sciences, Santé, Santé Mentale, Société (CNRS, EHESS, Inserm, Université de Paris Cité). Docteur en génétique statistique, elle a étudié la composante génétique des maladies humaines pendant 10 ans avant de se tourner vers les études sociales des sciences et des techniques et la sociologie de la santé. Elle anime aujourd’hui un groupe de recherche interdisciplinaire sur les innovations génomiques, étudiées dans des contextes expérimentaux et de routine clinique, dans différents contextes cliniques, notamment l’oncologie, les maladies cardiovasculaires et les maladies rares. Elle est membre du comité d’éthique de l’Inserm.


Claire Beaudevin
Centre de Recherche Médecine, Sciences, Santé, Santé mentale et Société : CNRS-EHESS-Inserm-Université Paris Cité.
Claire Beaudevin est anthropologue et chargée de recherche CNRS au Cermes3. Ses travaux portent sur la génétique médicale et la génomique, dans leur pratique quotidienne et dans leurs rapports avec les systèmes de santé (sultanat d'Oman, France) et la santé globale (OMS, sultanat d'Oman). Sa démarche de recherche combine anthropologie de la santé, anthropologie des sciences et collaboration avec historien.ne.s et sociologues. https://www.cermes3.cnrs.fr/fr/membres/membres-permanents/beaudevin.html https://cv.hal.science/claire-beaudevin


Emilie Charton
Direction de la Recherche Clinique et de l’Innovation et Département Sciences Humaines et Sociales du Centre Léon Bérard
Emilie Charton est statisticienne au Centre Léon Bérard, spécialisée dans le domaine de la qualité de vie relative à la santé en cancérologie. Ses travaux portent sur l’analyse longitudinale des données de qualité de vie relative à la santé en cancérologie et sur les inégalités sociales de santé dans le contexte de la recherche clinique. Elle a soutenu sa thèse en Biostatistiques en 2020 à l’Université Bourgogne Franche-Comté. Sa thèse portait sur la réflexion méthodologique de la standardisation de l’analyse et de l’interprétation des données de qualité de vie, et plus particulièrement sur la méthode du temps jusqu’à détérioration.


Estelle Vallier
Département Sciences Humaines et sociales du Centre Léon Bérard Estelle Vallier est sociologue au département Sciences Humaines et Sociales du Centre Léon Bérard et au Centre de Recherche en Cancérologie de Lyon (CRCL), et chercheuse associée au Cermes3 (Cnrs UMR8211- Inserm U988 - Univ. Paris Cité - EHESS). Elle s'intéresse aux relations science-industrie, notamment dans le cadre des politiques d'innovation. Sa thèse portait sur les dynamiques de coopération entre laboratoires académiques et start-ups de biotechnologie sur le cluster Genopole. Elle travaille actuellement sur l'industrialisation de la recherche clinique en cancérologie et plus largement sur l’organisation du travail hospitalier dans un contexte d’innovation et de soin. Elle s’intéresse également aux conséquences de ces transformations sur les parcours de patient.e.s. https://cv.hal.science/estelle-vallier


Héléna Revil
Laboratoire de sciences sociales Pacte (UMR CNRS 5194), Université Grenoble-Alpes (UGA). Titulaire d'un doctorat de science politique, Héléna Revil est depuis 2020 responsable de l'Observatoire des non-recours aux droits et aux services (Odenore), dispositif de recherche du Laboratoire de sciences sociales Pacte et de l'Université Grenoble-Alpes (UGA).
Ses travaux de recherche analysent les enjeux et les effets de l'action publique destinée à améliorer l’accès aux droits sociaux et aux soins, à la fois pour les publics et pour les professionnel.le.s qui la conçoivent et/ou la mettent en œuvre.
De manière liée, Héléna Revil explore les trajectoires de soins et de santé, en particulier de personnes précaires et/ou malades, à partir du prisme du 'non-recours' (le fait que des personnes n'accèdent pas ou ne veulent pas bénéficier de certaines prestations sociales et/ou d'offres de santé auxquelles elles pourraient prétendre). Cela lui permet de mettre en lumière des inégalités tout au long des trajectoires des personnes vers et dans les soins et de pointer les mécanismes sous-jacents, en lien notamment avec leurs contextes de vie et avec les pratiques et organisations médicales. Héléna s'intéresse aussi aux implications de ces inégalités sur la santé des personnes.
D'un point de vue méthodologique, ses recherches sont menées en lien permanent avec les acteurs du social et de la santé, dont les personnes concernées par la précarité et/ou la maladie


Julien Péron
Institut de Cancérologie des Hospices Civils de Lyon – Université Lyon 1 – Laboratoire RESHAPE. Julien Péron, MD-PhD, est Oncologue Médical à l’Institut de Cancérologie des Hospices Civils de Lyon, Professeur de Médecine à l’Université Lyon 1, chercheur en Santé Publique au laboratoire RESHAPE et membre votant de la commission de la Transparence de la Haute Autorité de Santé depuis 7 ans.
Comme clinicien, il traite des patients atteins de cancer du sein, cancers gynécologiques et cancers rares du péritoine. Ses travaux de recherche portent sur les cancers rares du péritoine, les cancers du sein, la prévention des cancers, les biostatistiques de l’essai clinique et la santé publique.
Julien est le cofondateur de l’entreprise Prevenear qui développe des outils numériques dédiés à la promotion des activités de prévention et de dépistage à l’usage des professionnels de santé et de leurs patients.


Juliette Froger-Lefebvre
GEMASS (CNRS-Sorbonne Université) Juliette Froger-Lefebvre est chercheuse post-doctorante en sociologie de la santé au GEMASS (CNRS-Sorbonne Université), membre du Siric Curamus et associée eu Cermes3. Après une thèse de science politique sur les mobilisations de personnes souffrant de troubles alimentaires, elle travaille aujourd’hui sur la prise en charge des patient·es en cancérologie et leur engagement au sein de collectifs. Elle explore notamment les transformations des inégalités de santé et leur complexification dans un contexte de développement de la médecine génomique en cancérologie.


Mauro Turrini
Institut des biens et politiques publics (IPP) du Conseil national de la recherche espagnole (CSIC) de Madrid Sociologue des sciences et de la médecine à l'Institut des biens et politiques publics (IPP) du Conseil national de la recherche espagnole (CSIC) à Madrid, et associée de recherche au CERMES3 à Paris, Mauro Turrini explore les cultures, les politiques et les épistémologies des innovations biomédicales, en combinant et en expérimentant différentes méthodes, principalement qualitatives. Mauro Turrini a réalisé des recherches de terrain dans les domaines de la génétique, du diagnostic, de la contraception et de la médecine reproductive. Ses recherches actuelles portent sur la médecine algorithmique et la nouvelle génération de dépistage génomique, en particulier dans le domaine de la procréation assistée.


Michel Dubois
GEMASS (UMR 8598), UMR CNRS Sorbonne Université Michel Dubois, sociologue des sciences, est directeur de recherche au CNRS. Il est directeur du laboratoire GEMASS (Groupe d’Etude des Méthodes de l’Analyse Sociologique de la Sorbonne), une unité de recherche CNRS et Sorbonne Université. Il est également co-directeur de la Revue française de sociologie (Presses de SciencesPo). Il est actuellement responsable ou coresponsable de projets nationaux ou internationaux consacrés à l’image publique des sciences, à l’éthique de la recherche et à l’intégrité scientifique.


Salvatore Vaccarella
Centre International de Recherche sur le Cancer, Equipe Inégalités et Cancer Salvatore Vaccarella mène ses recherches sur l'épidémiologie du cancer, avec un intérêt particulier pour la description, la compréhension et la caractérisation des inégalités sociales et de genre dans le contexte plus large des transitions, des modèles et des tendances du cancer à l'échelle mondiale. Il s'intéresse également aux inefficacités et aux préjudices potentiels dans la prestation des services de santé. https://cancer-inequalities.iarc.who.int/


Sandrine De Montgolfier
SESSTIM (Sciences économiques et sociales de la santé & traitement de l’information médicale, IRD, INSERM, Aix Marseille Université). Sandrine de Montgolfier est chercheuse en éthique médicale et sociologie de la santé. Actuellement titulaire depuis novembre 2021 de la chaire de recherche en sciences humaines et sociales : Démocratie en santé et engagement des personnes concernées par le cancer (DemoCan) financée par l’INCa, l’Université Aix Marseille et l’Institut Paoli-Calmette. Cette chaire est accueillie au sein du laboratoire du SESSTIM (Sciences économiques et sociales de la santé & traitement de l’information médicale, IRD, INSERM). Elle fonde ses travaux sur des études d’éthique empirique grâce à des méthodes de sciences humaines et sociales au plus près des terrains. Elle s’intéresse notamment aux enjeux éthiques de l’information et du consentement dans divers contextes comme celui de la génomique dans le soin et la recherche, des dépistages en cancérologie, mais également aux différentes étapes charnières des parcours de soins en cancérologie. Elle expérimente au sein de son équipe différentes méthodologies d’engagement des patients et aidants dans la recherche participative au sein de projets de recherche-action. Elle s’intéresse aux enjeux éthiques, socio-historiques et politiques liés à la mise en œuvre de la démocratie en santé dans le champ du cancer dans le soin et la recherche.


Sandrine Knobé
Laboratoire Sport et sciences sociales (UR1342 ; E3S)
Université de Strasbourg
Sandrine Knobé est sociologue, ingénieure de recherche HDR au sein du laboratoire Sport et sciences sociales (UR1342 ; E3S) de l’université de Strasbourg. Ses travaux cherchent à comprendre les logiques sociales d’engagement des individus dans des actions de promotion de la santé par les activités physiques. Elle a récemment dirigé, avec William Gasparini, la publication d’un ouvrage collectif proposant une synthèse actuelle des enjeux sociétaux et des questionnements scientifiques autour du sport-santé en France et en Europe (Gasparini W., Knobé S., Le sport-santé : de l’action publique aux acteurs sociaux, PUS, Strasbourg, 2021). Elle est responsable avec Claire Perrin (Lyon 1) d’un séminaire intitulé « Cancers, corps et sciences sociales. L’activité physique comme révélateur de dynamiques plurielles ». https://e3s.unistra.fr/equipe/composition/knobe-sandrine


Solenne Carof
GEMASS (UMR 8598), CNRS Sorbonne Université Solenne Carof (Sorbonne Université, GEMASS) a réalisé une thèse en sociologie à l'EHESS sous la direction de Claude Fischler dans laquelle elle a analysé les situations de stigmatisations vécues par les personnes en surpoids et obèses en France, Allemagne et Angleterre, ainsi que leurs pratiques alimentaires et pondérales quotidiennes. Elle travaille depuis quelques années sur l'oncopédiatrie, en s'intéressant à la fois aux transformations des parcours de soin des enfants atteints de cancer ainsi qu'aux transformations des pratiques professionnelles dans un contexte de reconfiguration de la médecine face aux progrès scientifiques (arrivée de la génomique, développement de nouveaux traitements, etc.).


Sophie Day
École de santé publique, Imperial College London
École de santé publique, Imperial College London
Sophie Day est titulaire d'une licence de Cambridge (Royaume-Uni), d'une maîtrise de l'université de Stanford (Californie) et d'un doctorat en anthropologie de la London School of Economic and Political Sciences (Royaume-Uni). Elle a récemment terminé une collaboration avec Celia Lury et Helen Ward sur la personnalisation des soins de santé, la culture numérique et la science des données, un projet d'humanités médicales intitulé "People Like You" (Wellcome Trust, 2018-2022).


Steve Sturdy
Université d’Edinbourg
Steve Sturdy est professeur de sociologie des connaissances médicales à l'Université d'Édimbourg. Formé en sciences naturelles, il s'est orienté vers l’étude sociale des sciences et des technologiques en obtenant un doctorat à l’Unité des Science Studies d'Édimbourg. Après sept années de recherche postdoctorale et d'enseignement à l'université de Manchester, il est retourné à Édimbourg pour enseigner l'histoire de la médecine. Ses recherches portent sur la relation entre science biomédicale, pratiques cliniques et politique, principalement dans une perspective historique. Plus récemment, il a étudié le développement de la biomédecine du milieu du XXe siècle jusqu'à aujourd'hui, avec un intérêt particulier pour la génétique médicale et la génomique.


Sylvain Besle
Chercheur en sociologie, Université Claude Bernard Lyon 1, Centre de Recherche en Cancérologie de Lyon (UMR Inserm 1052 - CNRS 5286 - UCBL – CLB), Département de sciences humaines et sociales du Centre Léon Bérard Sociologue de formation, je travaille sur les processus d'innovation en cancérologie à l'intersection de la sociologie de la santé et de la sociologie des sciences. Je suis actuellement titulaire d'une chaire de recherche de l'Institut National du cancer (INCa) intitulée « Enjeux sociaux de la médecine personnalisée et de l'innovation en cancérologie" en partenariat avec l’Université Claude Bernard Lyon 1, le LYRiCAN+, le Centre Léon Bérard, et le Cancéropôle CLARA. Mes recherches portent principalement sur la production de la médecine génomique, l'organisation des essais cliniques, la transformation des connaissances biomédicales, ainsi que sur les inégalités d’accès au soin pour les patients – enfants et adultes – atteints de cancer avancé.